Léon Gontran DAMAS A franchi la ligne / Presse

 

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EXTRAITS DE PRESSE JANVIER/FÉVRIER 2011

 

Un moment délicat qui permet une double découverte : un grand auteur, une actrice de grand talent.  Gilles Costaz – Webthea

 

Frédérique Liebaut dans une mise en scène économe d’effets, a réussi à sculpter sa comédienne. Mylène Wagram a tour à tour un profil d’Indienne, d’Africaine, de Grecque comme un fondu de noblesse universelle. Et qui crache le feu de Damas. La ligne est franchie.  Charles Sylvestre – L’Humanité

 

Venez faire la connaissance de Léon Gontran Damas, poète de la négritude, et de Mylène Wagram, celle qui prête son corps au verbe fulgurant de l’auteur. Ces deux personnalités entrent en résonance à travers un monologue puissant, cri de l’homme debout. Superbe, l’actrice dit avec une belle justesse la fragilité et la force d’un peuple blessé mais toujours fier.  Anaïs Héluin – Témoignage chrétien

 

Léon-Gontran Damas, poète, parle de ce qu’on appelle la négritude dans une langue réinventée et belle. La poésie au théâtre a toujours quelque chose de contraint. Mais la comédienne Mylène Wagram, est étonnante. Un voyage à faire en bonne compagnie.
Jean Luc Jeener – Figaroscope

 

L’élégance de Mylène Wagram, la force des mots de Damas, l’émotion de cette humanité qui est notre, où le non-aimé, le non-vu demande plus que la vengeance : l’amour, exigence insensée, la ligne est franchie. Le coeur s’emballe. Le spectacle irradie.
Christian-Luc Morel – Froggy’s delight

 

The intensity and intelligence of Wagram’s readings of Damas’ language and vision, even exploiting the rap tonalities and rhythms of these poems written long before Blacks had any kind of voice, make a gripping performance of these too long unheard poems.
Molly Grogan – ParisVoices

 

Un beau spectacle, tendu par un thème et un texte fort et une comédienne habitée  Yaël Hirsh – Toute la culture.com

 

En opposant le eux de la civilisation occidentale au je poétique, le discours du poète, relayé par Mylène Wagram, cherche à entrevoir la possibilité d’une communauté où les différences seraient le ciment de la fraternité.  Pierre-Edouard Peillon – Le Magazine Littéraire

 

Durant plus d’une heure, cette dernière [Mylène Wagram], par la voie du monologue, nous fait découvrir le désespoir, l’humour, la révolte d’un poète dont la vie a été hachurée d’affronts, d’amours déçues et d’exils. Il se dégage de ce très beau texte très bien interprété et mis en scène une force de vie surprenante.  Jacqueline Pasquier – Lesbia Mag

 

D’un texte à l’autre, les mots de Damas reflètent une poésie existentielle et se font prophétie. Ils donnent à voir loin et nous ouvrent vers l’héritage porté par les combats futurs d’un Martin Luther King ou plus proche de nous d’un Nelson Mandela… Tout est beau, sensible et mis en scène avec élégance dans ce spectacle qui lance aussi l’année des Outremers en France…  Dany Toubbiana – Théâtrorama

 

Léon-Gontran Damas était fou de jazz et ivre de vie. Saluons Mylène Wagram qui nous emporte dans cette danse, transe africaine, superbement ancrée sur cette terre et le regard au loin, porté vers l’avenir.  Angélique Lagarde – Kouran d’art

 

Damas libère les corps et la pensée par les mots. Mylène Wagram se balade dans l’œuvre du poète comme une note sur une partition de jazz.  Valérie Nescop – TGV Magazine

 

Alors que les spectacles poétiques sont réputés difficiles d’accès, celui-là nous introduit immédiatement dans le partage d’une humanité blessée mais debout. France Catholique